Gabrielle
A propos

Gabrielle Cornuault
Gabrielle Cornuault a 34 ans, travaille et habite à Vichy.
Née à Paris, elle retourne y faire ses études et poncer les grands musées. Après une année de préparation aux concours des grandes écoles d’art, elle poursuit ses études à l’EPSAA, école professionnelle supérieure d’Arts graphiques et d’architecture de la ville de Paris, où elle étudiera le graphisme pendant trois ans sans laisser de côté le dessin.
Son style est fortement influencé par le dessin d’illustration et les bandes dessinées qu’elle a beaucoup lu adolescente dans la librairie que tenaient ses parents. A quinze ans elle avait résolu d’apprendre, influencée par la maestria de ligne claire des dessinateurs du monde de l’édition.
Des projets ont commencé à se présenter avec l’illustration d’un recueil de nouvelles, “Voyages et Fleurs”, contes fantastiques écrits par Mercé Rodoreda, édité chez Federop.
Elle continue ses recherches graphiques sous forme de “frises”, sortes de cadavres exquis solitaires, où elle associe des symboles qui lui sont chers.
Des projets ont commencé à se présenter avec l’illustration d’un recueil de nouvelles, “Voyages et Fleurs”, contes fantastiques écrits par Mercé Rodoreda, édité chez Federop.
Elle continue ses recherches graphiques sous forme de “frises”, sortes de cadavres exquis solitaires, où elle associe des symboles qui lui sont chers.
Un hasard de la vie la fait revenir en Auvergne, entre Vichy et Clermont, d’où se présente l’occasion de faire une œuvre en bas relief en cimentographie à Paphos, Chypre, dans le cadre de la capitale européenne de la culture.
Elle passe trois ans à peindre sur le motif, cherchant la couleur et trouvant la lumière et la composition dans des peintures à l’eau effectuées sur les carnets de voyages, à la campagne ou à travers Chypre, Hollande, Allemagne, Suisse, Marseille, Paris, ou Prague.
Repérée à l’époque par un ancien professeur et graveur des Beaux arts de Clermont Ferrand, son association l’accueille, et elle expose avec eux à Regensburg des gravures en eaux fortes.
Elle passe trois ans à peindre sur le motif, cherchant la couleur et trouvant la lumière et la composition dans des peintures à l’eau effectuées sur les carnets de voyages, à la campagne ou à travers Chypre, Hollande, Allemagne, Suisse, Marseille, Paris, ou Prague.
Repérée à l’époque par un ancien professeur et graveur des Beaux arts de Clermont Ferrand, son association l’accueille, et elle expose avec eux à Regensburg des gravures en eaux fortes.
Dans l’intervalle, elle commence à travailler en librairie pour cinq ans environ, à trois quart temps. Elle auto édite ses carnets de voyage, faisant tout le travail de la chaîne du livre.
Elle participe depuis 2020 à l’exposition Anatomie du labo en collaboration avec “Sauve qui peut le court métrage”.
Le “Rendez-vous du carnet de voyage » l’invite régulièrement à donner des stages et des cours à destination des familles. Des directeurs culturels au département Puy-de-dôme l’ont fait suivre d’une chorale dans deux collèges, projet fédérateur impliquant musiciens et danseurs dans le cadre du festival Voix et Patrimoines.
Le dessin en direct la fait vivre en 2023, entre événementiel et autres projets publics.
Elle a été invitée pour une exposition et un stage à la fondation Peano Cuneo à Coni, près de Turin.
Elle participe depuis 2020 à l’exposition Anatomie du labo en collaboration avec “Sauve qui peut le court métrage”.
Le “Rendez-vous du carnet de voyage » l’invite régulièrement à donner des stages et des cours à destination des familles. Des directeurs culturels au département Puy-de-dôme l’ont fait suivre d’une chorale dans deux collèges, projet fédérateur impliquant musiciens et danseurs dans le cadre du festival Voix et Patrimoines.
Le dessin en direct la fait vivre en 2023, entre événementiel et autres projets publics.
Elle a été invitée pour une exposition et un stage à la fondation Peano Cuneo à Coni, près de Turin.
A été édité “Musées et bistrots” chez Akinomé, un livre dont elle a écrit les textes et qui reprend ses dessins de Paris.
“Contes des volcans auvergnats” paraît la même année chez La Flandonnière, illustré et mis en page par ses soins. Aussi chez le même éditeur les illustrations de « Légendes de la forêt de Tronçais ».
En 2024 elle effectue résidence avec la communauté de communes de Riom-Limagne-Volcans pour laquelle elle produira une quarantaine de dessins représentant les communes et donnera huit journées d’ateliers à des jeunes.
Actuellement elle travaille toujours sur ses frises-surréalistes en noir et blanc tout en enseignant épisodiquement. Elle planche également sur des projets jeunesses à destination de l’édition.
Se concocte un livre avec le collectif de graveurs le chant de l’encre dont elle fera la couverture en sérigraphie autour de l’univers de Dürer, pour une exposition à la maison de Dürer à Nuremberg.
Actuellement elle travaille toujours sur ses frises-surréalistes en noir et blanc tout en enseignant épisodiquement. Elle planche également sur des projets jeunesses à destination de l’édition.
Se concocte un livre avec le collectif de graveurs le chant de l’encre dont elle fera la couverture en sérigraphie autour de l’univers de Dürer, pour une exposition à la maison de Dürer à Nuremberg.
Interview réalisée par Deformations.org, où sont évoqués un recueil de cartes à jouer à venir ainsi que les approches graphiques et les inspirations générales de la dessinatrice.
Interview réalisée par le Rendez-vous du carnet de voyage à l’occasion des cours de Clermont Dessine organisés par le même festival au mois de juin. Dessin en direct à retrouver à la fin de la vidéo, après évocation des parutions de l’année 2022/2023.